L’industrie des jeux d’argent et de hasard connait un développement spectaculaire dans le monde. Si, historiquement, les jeux d’argent relèvent du régalien, ils s’en sont libérés à partir des années 1990, pour devenir un marché libéralisé et internationalisé. Les États rivalisent désormais pour attirer des joueurs qui s’affranchissent peu à peu des préceptes moraux. Courses, casinos, paris sportifs… le jeu se déploie à l’échelle mondiale et devient un loisir comme un autre. Mais de la démoralisation à la criminalisation, la limite est souvent ténue et la géopolitique des jeux d’argent est aussi révélatrice d’un versant plus discret, celui de l’informalité quotidienne, ou plus sombre de la mondialisation : celui de l’évasion fiscale, du blanchiment d’argent et de la mafia.
Des combats de coqs en Haïti et au Timor jusqu’aux paris sportifs en passant par les casinos mafieux de Chypre Nord et de Saint-Martin et le PMU en Afrique de l’Ouest, la conférence présentera différents aspects de ce secteur d’activité économique majeur qui gagne quotidiennement des pratiquants dans la majorité des pays, notamment parmi les jeunes urbains, en lien avec le développement des nouvelles technologies de communication.
« Les Victoires et les Défaites d’Ulysses S. Grant » Mme Judith DUBOIS
Ulysses S. Grant, général victorieux de la guerre fratricide entre les états du nord et les états du sud des Etats-Unis, a été plébiscité après l’assassinat d’Abraham Lincoln pour continuer son travail, pour construire une paix durable, soigner les plaies béants de la guerre et permettre aux anciens esclaves de jouir de leurs pleins droits. Nous allons examiner la vie d’un homme remarquable et mal connu, président des Etats-Unis à un moment crucial de l’histoire. Ses victoires et ses défaites ont modifié le destin de son pays et peuvent aider à comprendre la situation d’aujourd’hui.
« «La Retirada et le destin de la République espagnole après le 1er avril 1939» » Mr Antoine MERLE Notaire retraité, Conférences en matière juridique et technique dans le cadre sportif.
La première partie de mon intervention a relaté les raisons de la colère espagnole depuis l’exil d’Isabelle II en 1868 jusqu’au dénouement de la guerre civile le 1er Avril 1939. La deuxième partie fera un petit retour en arrière de quatre mois (Décembre 1938 ) qui expliquera la tragédie des républicains dans ces derniers instants de la guerre et la fuite vers la frontière française au travers du Pays Catalan. J’expliquerai les conditions du passage vers « la terre promise » et les illusions perdues, les regroupements dans les divers camps de concentration en France et la vie difficile de ce peuple en déroute. J’aborderai ensuite ce que sont devenus ces républicains depuis 1939 à 1944 et leur esprit de retourner dans leur pays lors de « la reconquista » par le Val d’Aran,. Je consacrerai un chapitre aux enfants devenus orphelins, l’abandon forcé de leurs parents et vers quelle destinées ils ont errés, enfin je terminerai par le portrait des hommes « célèbres » tant du côté républicain que du côté nationaliste, une tranche de leur vie, leur importance et le rôle qu’ils ont joué pendant cette guerre d’Espagne.
« Robert Fortune, espion du thé dans la Chine interdite (Calcutta-Hong Kong-Darjeeling) » Madame Catherine BOURZAT
1848. Un ressortissant britannique fait terre dans la nouvelle colonie de Hong Kong. Il est botaniste. Son nom est Fortune. Robert Fortune. Fortune est porteur d’un ordre de mission du gouverneur général des Indes. Il s’agit de percer tous les secrets du thé chinois, de rapporter le plus de plants de théiers possible, plus quelques gaillards chinois suffisamment qualifiés dans la production du thé. Le secret est très bien gardé. L’empire de Chine est interdit aux étrangers. Qu’importe. Au péril de sa vie, Robert Fortune entreprend une quête inouïe, qui le conduit aux sources du thé, au cœur de la Chine interdite. L’histoire d’un collectionneur d’étoffes tribales, deux nouvelles entrelacées autour du secret de la porcelaine, un répertoire mirobolant de l’imaginaire du monde chinois, un carnet de recettes de l’Inde…, les livres que signe Catherine Bourzat ont toujours l’Asie pour théâtre. En 2005, avec « Voyages aux sources du thé », elle remonte la piste du thé dans ses pays producteurs asiatiques. Un road book qui décrypte un produit de plus en plus apprécié des Français, tout en restant un grand méconnu. C’est sur ces routes du thé qu’elle croise pour la première fois les pas du botaniste écossais Robert Fortune.
Au cœur du Levant Proche-Oriental, la Syrie a des frontières communes -et autant de différends politiques- avec la Turquie, l’Irak, la Jordanie, Israël et le Liban qu’elle voudrait bien annexer. Sa superficie (185.000 km²) est le tiers de celle de la France. Une courte façade maritime sur la Méditerranée orientale, avec un port important, Lattaquié (le seul du pays) par lequel est exporté le pétrole venu des gisements syriens de l’extrême-Est, sur l’Euphrate. Les Russes s’y sont récemment installés, y créant leur seule base méditerranéenne. Le pays est en très grande partie désertique, sauf sur la frange côtière, entre mer et Oronte, et dans certaines oasis, par exemple sur l’Euphrate ou autour de Damas. Le Nord-est Est situé en Haute-Mésopotamie entre Tigre et Euphrate, à la limite de l’antique Assyrie. On est là dans la Maamoura, frange fluctuante qui, au cours des millénaires, a été successivement fertile (populations sédentaires) ou désertique (nomades). L’histoire du pays se perd dans la nuit des temps, les civilisations se succédant et y laissant leur marque : Hittites, Phéniciens, inventeurs de l’alphabet, Romains, Arabes, Croisés francs et leurs châteaux, Ottomans opprimant le pays pendant plus de 4 siècles. La Syrie est aujourd’hui un pays socialiste dirigé par un tout petit groupe (les Alaouites sont moins de 10 %). Depuis 2011, à la suite des prétendus « printemps arabes », une guerre civile ravage le pays et s’emploie activement à détruire ses œuvres d’art. Les photos que vous allez voir datent de 1980. J’y ai glissé quelques images récentes montrant l’état de délabrement de certaines zones. Mais, je le dirai, les journalistes se font parfois un malin plaisir d’orienter leurs reportages.
« l’ art des Aborigènes d’Australie » Mr Marc YVONNOU Galeriste spécialisé en art aborigène depuis plus de 20 ans, expert en art aborigène pour plusieurs commissaires-priseurs, auteur de 19 livres ou catalogues sur le sujet dont Thali aux éditions Somogy ou Les Divas du Désert et Musées de Sens, réalisateur du documentaire Walka et commissaire d’exposition (une cinquantaine d’expositions en France, Suisse, Allemagne, Belgique, …).
L’art aborigène plonge ses racines dans la nuit des temps. Ses traces le fond remonter à plusieurs dizaines de milliers d’années. Les Aborigènes ont basé leur culture autour de La notion du Rêve et de cérémonies centrées sur des chants, des danses et des motifs qu’ils transposent depuis quelques décennies sur des supports modernes. Souvent résumé à l’illustration de mythes, la peinture aborigène est pourtant bien plus complexe et c’est aussi un mouvement pictural avec son histoire, ses grandes figures exposées aujourd’hui dans les plus importants musées du monde.
« LES ROYAUMES ANGEVINS EN ITALIE » Monsieur Robert CASTELLO : Enseignant en histoire de l’art – Conférencier
En 1266, CHARLES 1ER d ANJOU, frère cadet de SAINT LOUIS mit brutalement fin, lors de la bataille de BENEVENTO au règne des HAUHENSTAUFEN en Italie du sud et en Sicile. Cette victoire angevine allait consacrer plus de cent soixante-dix ans de présence française en Italie méridionale et faire de Naples, la nouvelle capitale du royaume, une ville profondément marquée par le style gothique.
« BIRMANIE OU MYANMAR » Monsieur Jean-Paul LAMARQUE Professeur d’histoire, Directeur honoraire des Alliances Françaises de LA PAZ (BOLIVIE) et SANTA FE (ARGENTINE), accompagnateur de voyages culturels
« Le plus grand pays de la péninsule indochinoise, longtemps isolé du reste du monde, demeure méconnu et quelque peu mystérieux aux yeux des Occidentaux. Riche d’un extraordinaire patrimoine, il est le cadre de vie de multiples ethnies ayant conservé intactes leurs croyances et leurs coutumes. BAGAN, MANDALAY, MONIWA, YANGON, le lac INLE, autant de sites à découvrir au long d’un parcours à la fois historique et culturel, illustré de nombreux documents inédits et de photographies prises en janvier 2016 ».
« JARDINS CHINOIS, JARDINS JAPONAIS microcosmes inspires des sagesses dao, shinto et zen » Monsieur Jean-Paul LAMARQUE Professeur d’histoire, Directeur honoraire des Alliances Françaises de LA PAZ (BOLIVIE) et SANTA FE (ARGENTINE), accompagnateur de voyages culturels
Les philosophies orientales – notamment le taoïsme – ont inspiré dès leur origine une relation de l’homme avec la nature bien différente de celle que nous connaissons en Occident. De la Chine au Japon, passant par quelques jardins emblématiques de Suzhou, Shanghai, Kyoto, Tokyo …, nous aborderons un décryptage de divers éléments constituant ces microcosmes où rien n’est le fruit du hasard ni de considérations seulement esthétiques, mais où l’art et la poésie trouvent aussi leur place .
« LE WESTERN ET L’HISTOIRE DES USA » Monsieur Yves PEDRONO Professeur de philosophie retraité – Docteur en sciences de l’éducation
Comment une épopée s’élabore-t-elle ? En règle générale, cette question n’appelle en réponse aucune certitude, faute d’une connaissance avérée du passé. L’Iliade et l’Odyssée, Les Chevaliers de la Table ronde ? Pour une large part leur naissance demeure mystérieuse. Le western est un cas unique de récit épique qui s’est écrit sous nos yeux. On peut ainsi observer comment l’histoire, la légende, l’imagination se sont associées pour narrer la naissance des Etats-Unis. A partir de ce fond culturel, le western a fait ses choix, privilégiant certains évènements, en délaissant d’autres, construisant dès lors un passé très souvent déterminé par le présent. Loin d’être une pure distraction, ce genre cinématographique est peut-être une des voies les plus sûres pour comprendre la société américaine.
« LE JAPON Images et réalités – Panorama des idées erronées, réductrices ou décalées Une tentation de nouvelle perception » Monsieur Michel PENSEREAU Attaché d’Administration (Ministère de l’Intérieur et de l’Outre-Mer) retraité, parallèlement chargé d’enseignement de langue et de civilisation japonaises de 1997 2008, licencié d’Enseignement d’Histoire, maîtrise et DEA d’Histoire
Le JAPON trouve certes ces louangeurs et zélateurs mais aussi ses détracteurs. Il fut décrit soit comme un « modèle » soit, sinon comme un « monstre », du moins comme un exemple dont on ne peut emprunter que certaines recettes. Longtemps « terra incognita », le pays du Soleil levant, aujourd’hui 3ème puissance économique mondiale, demeure encore de nos jours une contrée mal connue, non plus car trop lointaine mais comme appartenant à l’ « autre moitié du monde », d’où la multiplicité la concernant d’idées erronées, tronquées et réductrices de la réalité, voire tout simplement décalées dans le temps. En effet, peu de pays demeurent à ce point enrobés d’un réseau de mythes et d’idées préconçues, cela même alors que le JAPON était encore présenté en 1990 telle une « nation phare ». Il importe donc de dépasser l’image que nous nous faisons de cette contrée pour approcher une réalité dont la perception n’est cependant pas immédiate tant l’archipel paraît le « pays de l’incessant démenti ». Certes existent toujours ce « JAPON vrai » campagnard des rizières et du bambou ainsi que le « JAPON Eternel » de la geisha fantasmée, des temples et des pagodes, mais dominent à côté de ces derniers anachronismes plaisants un archipel avant-gardiste aux mégapoles enfers de béton, de verre et d’acier ainsi qu’un monde ultra-technologique parfois devancier, car le JAPON ne se ferait surtout pas à l’idée d’être pensé à l’extérieur comme « en retard » !
« LES NORMANDS EN ITALIE » Monsieur Robert CASTELLO Conférencier – enseignant en histoire de l’art
Un peu après l’an Mille de nouveaux envahisseurs venus du nord-ouest de la France débarquent en Italie du sud et en Sicile, ce sont les Normands. Ces conquérants à l’intelligence vive et pragmatique vont apporter avec eux la paix et la stabilité nécessaires à l’éclosion d’un très grand art. Les Normands vont créer un véritable état « œuvre d’art » en associant les différentes composantes ethniques et religieuses de cet immense royaume pour donner naissance à une architecture composite qui associe sans heurt les influences romanes, arabes et byzantines.
« LA SYRIE, DE L’ANTIQUITE AU DEBUT DU XXIème SIECLE » Madame Annick LECLERC Chargée de mission au Musée du Louvre (Département des Arts de l’Islam) Professeur à l’Ecole du Louvre
Après une mise en place « physique » du sujet (la géographie), la conférence aborde la longue histoire du pays avec ses inventions (agriculture, élevage, alphabet), ses avancées et reculs (phases de sédentarisation / invasions et destructions), ses strates de peuplement, ses accumulations de croyances. Chaque grande étape (néolithique, temps des villes, temps des empires, époque gréco-romaine, Moyen-Age, empire ottoman) est illustrée par des clichés de ses réalisations artistiques. Ce « panorama » historique culminera avec l’évocation des bouleversements qui suivirent la première guerre mondiale et qui, d’une certaine manière, jettent un éclairage sur le drame actuel. Annick Neveux-Leclerc n’étant pas une spécialiste de géopolitique ne pourra pas aller au-delà de son domaine, à savoir l’histoire et l’histoire de l’art.
« LA MERVEILLEUSE EPOPEE DU RAMAYANA » Monsieur Jean-Paul LAMARQUE – Professeur d’histoire – Directeur honoraire des Alliances Françaises de LA PAZ (BOLIVIE) et SANTA FE (ARGENTIQUE) – accompagnateur de voyages culturels
Né en INDE il y a 25 siècles, le mythe du RAMAYANA continue d’inspirer toutes les formes de l’art et du spectacle, dans de nombreux pays de l’Est Asiatique. Après une brève présentation du panthéon hindouiste, nous accompagnerons dans ses aventures le héros RAMA, parti libérer sa jeune épouse SITA des griffes du démon RAVANA, avant de nous interroger sur la portée actuelle de ce mythe.
« UN VOYAGE A TRAVERS LES LANGUES DU MONDE : il pleut toujours quelque part » Monsieur Pierre BRULE – Professeur émérite de l’Université Rennes 2
L’auteur invite à une promenade à travers les langues du monde – quelques-unes seulement ! Et, au travers du thème apparemment banal de la pluie, il montrera comment elles trahissent une conception du monde, de l’homme et du sacré – à moins que ce ne soit l’inverse (que ce soit l’usage d’une langue qui prédétermine ces conceptions !).
« AUX ORIGINES DE LA MAFIA » Monsieur Robert CASTELLO – Enseignant en histoire de l’art – Conférencier
Longtemps considérée par les historiens comme un sujet tabou, la mafia a donné lieu à un nombre considérable d’images de clichés et de légendes.
Si la mafia est née en Sicile dans la seconde moitié du 19eme siècle, ses origines remontent fort loin dans le passé.
Contrairement aux thèses défendues par les historiens du nord de la péninsule qui voient dans le phénomène mafieux le résultat d’un ensemble de dispositions des siciliens pour la violence, la mafia est surtout et avant tout le produit d’une mauvaise gouvernance et d’une oppression sociale séculaire.
« LA CIVILISATION JAPONAISE – HERITAGES, MYTHES ET ELEMENTS FONDATEURS » Monsieur Michel PENSEREAU – Ancien Attaché d’Administrations – Chargé d’enseignement de la langue et civilisation japonaises à l’Université de Saint-Denis de la Réunion
La civilisation japonaise est une « civilisation périphérique » de celle de la CHINE, sa matrice culturelle cultivant longtemps sa spécificité, le JAPON, « cyclique » a alterné au cours de son histoire phases de repli et d’ouverture au monde. Le pays du Soleil Levant, poétique à ses heures, est également mué par une éthique de la survivance, ce qui fait que sa civilisation est aussi pragmatique. Longtemps élève des nations techniquement les plus avancées, l’archipel est une « culture de l’appropriation » qui développe toute une pédagogie de l’imitation. « Civilisation double », le JAPON est à la fois un « Orient extrême » et un « Extrême Occident » ; il constitue aussi un « Ailleurs » qui distille certes un exotisme discret mais surtout de l’insolite d’autant qu’il est enfin une « Civilisation de la vacuité » jouant des vides et des pleins, des jeux de lumière, de l’ambiguïté, du « non-dit », de l’invisible, de l’indicible et de l’ineffable.
« LISBONNE AU FIL DE L’EAU » Par Mr Christophe GAMEIRO – Professeur D’Histoire-Géographie au lycée viticole de Montagne, guide touristique, présentateur de spectacles, conférencier
Lisbonne, la « reine du Tage », la « cité des 7 collines », doit sa fortune aussi bien à son ouverture maritime qu’au Tage, son artère vitale. Pendant plus d’une heure, Christophe Gameiro, vous entraîne dans les dédales du quartier de l’Alfama, près des bassins, ou bien encore dans la Cité balnéaire de Cascaïs. Fruit de photos, qui ont été prises lors de l’été 2011, cette balade estivale se veut tout à la fois touristique, pédagogique, mais aussi chargée d’histoire. L’orateur sait mieux que quiconque se mettre à la portée de tous, vous faire découvrir la capitale lusitanienne au travers ses traditions, que sont les tavernes à fado, les « électricos » brinquebalants, et les dévotions aux saints. Les rénovations urbaines ne sont pas oubliées et le parc des Nations, qui abrité en 1998 l’Expo universelle est largement convoqué. Quant aux lieux aquatiques, que ce soient les fontaines, l’aqueduc, ou les rivages de la côte lisboète, ils sont totalement revisités. Lisbonne est aussi une capitale culturelle et les musées, qui nous entraînent vers le grand-large (musée de l’Orient, de la Marine, Navire-Ecole) sont largement abordés, pour honorer l’empire maritime défunt du Portugal.
« L’HERITAGE CULTUREL COREEN » Par M. LAMARQUE – Professeur d’histoire, directeur honoraire des Alliances Françaises de LA PAZ (BOLIVIE) et SANTA FE (ARGENTINE), accompagnateur de voyages culturels
Au fil de cinq millénaires, le peuple coréen a développé une civilisation longtemps méconnue en Occident, à l’origine d’un riche patrimoine qu’un parcours illustré de nombreux documents iconographiques nous permettra de découvrir. Nous aborderons notamment l’évolution des croyances, l’architecture, l’écriture, la céramique, les sciences.