LUNDI 02 AVRIL 2012
« LE MULTILINGUISME EUROPEEN A-T-IL UN AVENIR ? »
Monsieur PASCAUD – 2008 : Master Description du Langage et des Langues – 2008-Aujourd’hui : Thèse de doctorat en linguistique : « Langues d’immigration et rapport au territoire. Le cas des communautés migrantes européennes dans l’agglomération de Bordeaux ». Soutenance prévue en Septembre 2012 – Participe depuis 2008 au programme de recherche Langues minoritaires et marges linguistiques en Europe LMMLE (Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine / EEE-CRDEI-ERSSàB) – Contrat de recherche du Conseil régional d’Aquitaine 2008-2011
Le multilinguisme est un droit inaliénable et fondamental de la construction européenne mais, est-il possible de le respecter au sein-même des institutions européennes ? Comment l’Union Européenne gère-t-elle et gérera-t-elle cette tour de Babel ? Quel est son coût ? Quelles sont les solutions pour, à la fois, respecter un des fondements du projet européen et alléger le coût et la tâche des services linguistiques de l’Union Européenne ? L’alternative est-elle au tout-à-l’anglais ? Au développement de l’espéranto (ou d’une autre langue universelle) ? A un système de langues de travail tournantes ? Ou bien, à un choix raisonné de langues ?
« LE MULTILINGUISME EUROPEEN A-T-IL UN AVENIR ? »
Monsieur PASCAUD – 2008 : Master Description du Langage et des Langues – 2008-Aujourd’hui : Thèse de doctorat en linguistique : « Langues d’immigration et rapport au territoire. Le cas des communautés migrantes européennes dans l’agglomération de Bordeaux ». Soutenance prévue en Septembre 2012 – Participe depuis 2008 au programme de recherche Langues minoritaires et marges linguistiques en Europe LMMLE (Maison des sciences de l’homme d’Aquitaine / EEE-CRDEI-ERSSàB) – Contrat de recherche du Conseil régional d’Aquitaine 2008-2011
Le multilinguisme est un droit inaliénable et fondamental de la construction européenne mais, est-il possible de le respecter au sein-même des institutions européennes ? Comment l’Union Européenne gère-t-elle et gérera-t-elle cette tour de Babel ? Quel est son coût ? Quelles sont les solutions pour, à la fois, respecter un des fondements du projet européen et alléger le coût et la tâche des services linguistiques de l’Union Européenne ? L’alternative est-elle au tout-à-l’anglais ? Au développement de l’espéranto (ou d’une autre langue universelle) ? A un système de langues de travail tournantes ? Ou bien, à un choix raisonné de langues ?